- Si j'étais à ta place, Benjamin, si vraiment j'avais peur d'en prendre pour perpète, je m'y préparerais autrement. Je boirais au sein et je baiserais à couilles rabattues, je m'offrirais les meilleurs restaus, les meilleurs films, les meilleures pièces, les plus faramineuses rigolades, je m'enverrais en l'air si haut qu'il me faudrait beaucoup plus qu'une perpétuité pour me souvenir de tout ce plaisir accumulé...
J'ai réfléchi pendant qu'elle éparpillait nos fringues.
Et je me suis rallié à son programme.
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