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je sais qu'il n'y a rien de telle qu'une "certitude", je crois que nos vies ne sont qu'une suite d'impressions auxquelles nous décidons de faire confiance, et d'autres que nous oublions et laissons derrière nous...
je crois savoir que je ne suis pas un homme de science : ne me demander pas de vous expliquer la "loi de la Relativité" dans les mots d'Einstein - vous n'avez qu'à le demander à Yannick Bergeron!; mais encore, je me suis créé ma propre définition de ce que peut être la relativité...
comme le temps par exemple : pour une certaine période donnée, les choses peuvent totalement glisser hors de notre contrôle, les évènements se bousculent et rien ne semble vouloir s'arrêter, mais encore certaines autres choses semblent figées pour l'éternité et ne changeront jamais...
C'est ainsi que je me sentais et que je me sens encore - figé - un mois plus tard après ma réunion de l'école secondaire, 10 ans plus tard; certaines choses sont les mêmes, d'autres ont dépassé les attentes, pris de grands détours... certaines se sont arrêtées avant même d'avoir pu commencer...
il y avait le sourire de Sabrine... personnellement j'ai attendu une éternité afin de le revoir : la pluie se préparait à l'extérieur, un soleil m'attendait à l'entrée!
il y a eu Stéphane Poirier et Véronique Rivest... malgré le fait que tous les autres les entouraient, les deux se retrouvaient seuls, complices seulement pour l'autre, John Travolta et Uma Thurman, il ne manquait que la voix de Chuck Berry sur l'air de "You never can tell" (encore une fois, le DJ s'est planté!)... un moment magique, quoi! (c'est pas une marque de pudding ça ?)
il y a eu l'absence de Stéphanie Hallé... je ne me souviens plus quand ni comment, mais je savais déjà le pourquoi de ton absence, je savais que tu étais déjà partie pour le dernier voyage, celui duquel il n'y a pas de retour... je me souviens avoir pleuré, comme je le fais maintenant en écrivant ces lignes... d'une certaine façon tu me manqueras toujours, comme tu dois manquer un peu/beaucoup à nous tous (c'est relatif!), mais tu ne seras jamais oubliée...
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Pour ma part, depuis les quelques 3600 jours qui me séparent du petit-plein-pas-d'avenir-et-squelettique que j'étais et celui que je suis devenu - une version améliorée je vous assure! - les choses ont commencé de façon assez chaotique : après 2 ans d'indécision continuelle, le Grand Manitou a décidé de me faire un cadeau, il m'a fait découvrir l'amour - je le répète, il n'y a pas de certitude absolue, seulement des personnelles! - et afin de bien nous faire comprendre à moi et à valou - Valérie de son nom... - que ce n'était pas une illusion, il a cimenté ce sentiment avec une autre surprise : éLorielle (j'ai pas poussé pour le savoir mais est-ce moi le premier papa ?)
on ne me prend pas encore au sérieux mais je suis vraiment doué pour ce que je fais, j'ai perdu une partie de mes cheveux - des trous un peu partout, on appelle ça "pelade", sans blague! - mais heureusement ils ont repoussé avant de vous revoir, il fait -40 ce soir mais je retrouve toute la chaleur dont j'ai besoin dans mes amis, mes amours et dans ma vie en général... je ne changerais rien pour rien au monde!
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je n'ai jamais porté d'attention aux détails, l'important à mes yeux a toujours été ce que les évènements laissent comme impressions dans notre mémoire afin de forger celui ou celle que l'on est... donc, pour ceux dont j'ai oublié momentanément le nom, pour moi ce n'est qu'un détail, mais je m'en excuse, vraiment désolé (sans rancune Jenny ? je m'excuse aussi Yan...)
pour ce qui est de la relativité, sincèrement c'est sans importance - mais ça faisait une belle intro! - et ça fera une belle conclu! j'aurais tout de même aimé que cette soirée dure relativement plus longtemps, il me semble ne pas avoir eu le temps de voir et parler avec un maximum d'entre nous (ça sonne drôle comme phrase mais je n'arrive pas à l'écrire autrement - au moins cinq fois que j'essaye! si vous avez une suggestion, svp, envoyez, ça peut être changé!)
(l'art de vraiment scraper un texte sous prétexte de devoir aller dormir!)
je vous laisse sur mon secret : love is the answer...
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20041220
20041212
ECHO-20041211
Une maman, c'est fait pour morver dessus!
On est tous le trou de cul de quelqu'un...
(not a citation, but whatever...) Happy Birthday Milou and Daniel too!
Cath
=====On est tous le trou de cul de quelqu'un...
Dan
=====(not a citation, but whatever...) Happy Birthday Milou and Daniel too!
ion
20041019
A beginning is a very delicate time...
et maintenant j'hésite car je ne sais vraiment par où commencer : il y a tant de sujets possibles parmi lesquels choisir, qu'une fois le choix fait, il me sera impossible de ne pas le regretter!
/
and now i hesitate for i don't know where to begin : there is so much possible subjects i could choose from that, once taken, it would be impossible not to regret it!
J'ai une nationalité but i don't feel like it : cette planète que j'habite me semble dériver continuellement vers l'erreur, i don't identify myself to the choice of the ones who decide... alors je ne suis pas canadien, surtout pas québécois... in my political reality, only 2 choices are offered to me : une province ou un pays...
Rappelez-vous l'histoire : les navigateurs croyaient qu'au bout de la mer, il n'y avait plus rien... a void, the realm of the null, nothing... de mes jours - after more than 3 centuries! - on ne semble toujours pas pouvoir reconnaître la Terre pour ce qu'elle est : our home, for all of us.
"Where we go from there...is a choice I leave to you..."
well... to us all!
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and now i hesitate for i don't know where to begin : there is so much possible subjects i could choose from that, once taken, it would be impossible not to regret it!
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J'ai une nationalité but i don't feel like it : cette planète que j'habite me semble dériver continuellement vers l'erreur, i don't identify myself to the choice of the ones who decide... alors je ne suis pas canadien, surtout pas québécois... in my political reality, only 2 choices are offered to me : une province ou un pays...
Rappelez-vous l'histoire : les navigateurs croyaient qu'au bout de la mer, il n'y avait plus rien... a void, the realm of the null, nothing... de mes jours - after more than 3 centuries! - on ne semble toujours pas pouvoir reconnaître la Terre pour ce qu'elle est : our home, for all of us.
"Where we go from there...is a choice I leave to you..."
well... to us all!
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